La commune de Sainte-Rose en Guadeloupe

  

Sur la côte nord de la Basse Terre, Sainte-Rose est par la taille la deuxième de Guadeloupe, derrière Petit Bourg.

C'est une ville avec de très belles plages qui viennent s'ajouter aux plages de la communes de Deshaies sa voisine.

C'est aussi une commune agricole très interressante, les cultures du coton et du tabac ont vite été abandonnéee au profit de la canne qui fait de cette région le centre du sucre et du rhum. pour la visite des cultures et usines de propriétés et de transformations de la canne à sucre

Le centre-ville est très vivant avec sa grande place lieu de rendez-vous local avec tous ses petits commerces et le marché.

Le port de pêche a un charme bien pittoresque.

Vous y trouverez une atmosphère très authentique le matin quand tous les pêcheurs arrivent avec votre poisson du jour et diverses lanoustes et crabes ...

En face de Sainte-Rose, il y a de merveilleux et nombreux petits ilots inhabités au large, ils sont inscrits, par l’Unesco, à la réserve mondiale de la biosphère .

De toutes originales et belles balades à en rêver. Elle est le point de départ privilégié vers les îletsla mangrove et toutes les excursions vers le Grand Cul de Sac Marin, une immense étendue d’eaux peu profonde, une véritable pouponnière de vie marine, asile de nombreuses espèces d’oiseaux migrateurs, où se rencontrent non loin, la Mer des Caraïbes et l’Océan Atlantique.

Une ville chargée d'histoire 

Ici, débarquèrent en 1635 les 400 premiers colons français emmenés par Jean Du Plessis d'Ossonville et Charles Liénard de l'Olive. On nomme d’abord le site tout simplement, Grand-Cul-de-Sac, avant de l’appeler un temps  Saint-Pierre, puis enfin Sainte-Rose en 1790.

La ville comprend plusieurs secteurs dont Nogent, à l'entrée Sud, Sofaïa à l'intérieur vers le parc national ou La Boucan à l'Est.

La source chaude du bassin de Sofaïa où l’eau atteint 31°C possède des vertus curatives. Elle est très fréquentée par la population locale. Cette source sulfureuse émane du tremblement de terre de 1843. De nombreuses traces partent des hauteurs de Sainte-Rose pour sillonner la forêt tropicale.